Nous ne manquerons pas de revenir sur ce sujet en y consacrant un dossier aussi complet que possible.
zeribet el oued biskra (الكنوز الخضراء - زريبة ... - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=N8riBE4Idps
26 mai 2014 - Ajouté par MrT4rek
... ( الكنوز الخضراء ) يتطرق للجانب الفلاحي بمنطقة زريبة الوادي تحت رعاية المحافظة Hcds- Epandage des eaux de crue - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=-pHJnvrG6_s
21 avr. 2011 - Ajouté par Ingdz Maghrébin
Extrait du blog: saidabiida
>
Messages février 2014
>
Agriculture Algérie : le HCDS ne fera pas un séminaire pour le
plaisir mais pour l'efficacité sur le terrain ce 23 février
2014
Le
HCDS va restituer ce 23 février 2014 une cartographie des zones
potentiellement agricole en steppe (zones inondables et zones avec
présence de nappe souterraine initialement fossible); ceci permettra
une d'initier sur le terrain une stratégie pour la valorisation des
eaux et sols annuellement emportés par les crues vers la mer. cette
étude SIG réalisée par le BNEDER confirme que 500 000 ha
supplémentaires sont exploitables
Historique
En
1968, la production céréalière de la steppe est estimée à 4,35
millions de quintaux. 1992, un rapport du Ministère de l’Agriculture
fait état de 2,1 millions d’hectares labourés et cultivés soit
10% de la steppe
La
steppe a reçu une moyenne de 2.5 milliards de m3 de pluies en 2009.
en effet, les crues à la suite des orages (70 à 151mm/orages ) en
l'espace de quelque heures peuvent drainé sur des centaines de km
entre 1000 et 2000hm3 d'eau qu'il faut valoriser . le rendement moyen
biologique obtenu par échantillonnage en 2009 et 2010 est 30.48qx/ha
et le rendement réel supérieur à 13qx/ha;les agriculteurs éleveurs
puisent 30% du besoin du cheptel ovin des crues. Certaines régions
comme Biskra(600m) et Oued Touil (720m) ont des altitudes qui leur
confèrent un climat plus doux plus tempéré et moins gélif que le
Tell et plus favorable à la polyculture et création de prairies à
hautes potentialités fourragères
Ces
zones ont permis à la production céréalière d'être excédentaire
en 2009; grâce au crues générant une fertilisation naturelle
,elles donnent en année humide des rendements de céréales
supérieurs à ceux de la zone telliennes bien que les doses de semis
ne dépassent pas 65 kg/ha Etant donné ,un labour minimum le revenu
de l’agriculteur éleveur est 3fois supérieur à celui obtenu par
un agriculteur du Tell
les
recharges articielles des nappes sont urgentes et le HCDS a réalisé
des ouvrages de retenues et d'infiltrationde s eaux des crues :s'il
existe 448 ceds , alors qu'il existe une possibilité d'entretenir
206648ha àpartir de ces ceds; parfois t ces eaux entrainent 50% des
sols emportés par les inondations les autres points discutés ont
concernés les difficultés des agriculteurs face à : - à des
pratiques du passif qui attribuent les terres aux seuls hommes
vivants et mariés dans les zones d'épandages du sud de Khenchela où
les ouled Archache continuent à exploiter les "Hbel"
parcelles de 1m de large et 1 km de long - la diversité des textes
juridiques qui ne profitent pas à l'agriculteur des zones
d'épandages qui doit attendre la réunion du comité de Daira pour
lui délivrer une attestation d'emblavures et une autorisation
delabaour jusqu'au mois de novembre au lieu de septembre ce qui porte
préjudice à la production de biomasse en hiver et au grain
L'étude
Bneder qui surestime les potentialités de Oued Mzi à 37000ha au
lieu de 10000ha ne
La
capacité actuelle des docks de la steppe (21% du total) reste
encombrée par l'orge et il est difficile de faire un transfert vers
le Nord occupé par 5.1 millions de quintaux de grain consommation
qui ne trouve pas preneurs… A Tiaret ,les docks comptent 1.5
millions de grain en souffrance
Les
eaux engendrent un ravinement et véhiucle du gypse
Si
nous réagissons pas une grande partie de ces terres va se
transformer en Sebkha
cette
étude montre l'existence d'une diversité de sols dans les zones
d'épandages et a également identifié jusqu'a 5 classes de
capacités des terres au sein de la même zone d'épandages des crues
. On a donc pu distinguer plusieurs unités de terres favorables à
l'intensificatio n des productions laitières, viandes, arboricoles,
légumières et céréalières
La
région revêt plusieurs formes géomorphologique s (glacis,
dhayates, oueds, haoudh, qui correspondent à une végétation
diversifiée. Av ec des terrains du Quaternaire continental et
alluvions récentes au niveau des oueds en profondeur le Kimméridgien
avec ses nappes d’eau fossiles à plus de 90m et d’un débit
supérieur à 20 litres/s. De part son rôle de réservoir minéral
du sol et de facteur de morphogenèse, le substratum géologique
exerce une influence importante sur la répartition de la végétation.
Cette action est prépondérante en zone aride du fait du faible
recouvrement gl obal de la végétation. des reliefs montagneux
constitués par des dolomies du Jurassique moyen(sols minéraux bruts
ou lithosols). Enf in les terrains du Pliocène occupent le reste des
paysages à poudingue et des sols calcimagnésiques .
En
année humide ,les zones d'épandages en absence de fertilisation
donne des rendements de céréales supérieurs à ceux de la zone
telliennes;le but de cette étude est démontrer la fertisation
naturelles des sols des zones d'épandages sur un vertisols
eutriques (oued soussalem),un sol alluvials plus lègers (oued el
ouhch )un sol sableux ( les alluvions de Ced ben Bakhti ) un
sol luvisols à tendance gypsique (cuvette de kasdire); l'étude a
égalment dégager jusqu'a 5 clsses de de capacités des terres au
sein dela mêm zone.. et présente les vocations deces capacités
deterres.
l
Grace
à l'utilisation du SIG dans le cadre d'une étude de ressources
naturelles il a été possible d'identifier et de c l a s s er les
capacités des terres des zone s d'épandages ; des image Landsat TM
associées à des échantillonnages de végétation , des
échantillonnages de sols et des données climatiques permis de
distinguer cinq classes de terres. Dans une région où la capacité
de la capacité des eaux de surface atteint un niveau global de
350millions de m3(Oued Touil,AinSkhouna ,Chehaima),
Thouilila
mitoyen de la localité de Réchaiga. le climat est caractérisé
par la fréquence des crues en particulier au mois de Septembre et
une nappe d'eau situé à 80m avec un relèvement de 27m en années
humides le site dans son bas fond offre une capacité deterres
favorables au développement du blé dur notamment par: - sa texture
de vertisols eutriques assez riche en P2O5 ,K,et N et taux de MO
supérieur à 1% - sa profondeur de de sol de 85cm - capacité
d'échanges de cathions supérieurs à 16meq/100gr argile - salinité
inférieure à 8mmhos/cm - taux de carbonates inférieur à30% Ce
site est à très haute potentialité blé dur et légumineuse
alimenaire la présence nappe grantit la production de semences
On
distingue plusieurs types de sols :les sols minéraux bruts ou sols
très peu évolués sont localisés principalement sur les sommets
des djebels et sont soumis à une érosion hydrique intense. Ces sols
caractéristiques des forêts et des matorrals, comportent : - les
lithosols sur les roches dures (grès ou calcaires), - les régosols
sur les roches tendres (marnes et calcaires marneux), - les sols
minéraux bruts d'apport alluvial dans les lits des oueds
caillouteux. Le s sols peu évolués regroupent : - les sols
d'origine colluviale sur les piedmonts des djebels et les glacis, -
les sols d'origine alluviale dans les lits d'oued, les zones
d'épandage et les dayas, - les sols d'origine éolienne avec des
formations sableuses fixées. Les sols calcimagnésiques regroupent
les sols carbonatés parmi lesquels on retrouve : - les rendzines
humifères sur les versants des djebels, - les sols bruns calcaires à
accumulation calcaire xérifiée qui sont très répandus sur les
glacis polygéniques du Quaternaire ancien et moyen - les sols à
encroûtement gypseux qui sont plus rares, représentés par des
petites plages dans les zones de grès alternant avec les marnes et
argiles versicolores. Les sols carbonatés sont les plus répandus en
Algérie, notamment dans les écosystèmes steppiques et présahariens
où ils représentent de vastes étendues encroûtées (HALITIM,
1988). Les sols isohumiques sont représentés dans les glacis
d'érosion polygéniques du Quaternaire récent. Ils regroupent les
sols à encroûtement calcaire ou gypseux. On les retrouve dans les
régions arides lorsque les précipitations sont inférieures à
200mm/an. Les sols halomorphes regroupent les sols salins
(solontchak) profils AC et les sols salins à alcalis (solontchak-
solonetz) profil A (B) C. Ces sols sont généralement profonds et
localisés dans les chotts et les sebkhas. Ils sont pauvres en
matière organique. Leur salinité est chlorurée, sulfatée sodique
et magnésienne.
Il
ne restait donc plus qu'à mettre en pratique la deuxième solution
plus facile à réaliser et par ailleurs moins onéreuse et à
l'impact immédiat. En effet, il suffit qu'une digue en gabion soit
érigée, à des fins de dévier son parcours, pour que les terres
avoisinantes deviennent du coup le réceptacle d'eaux de
ruissellement, en d'autre termes, deviennent une zone d'épandage
qui, par la suite, va donner naissance à une couverture végétale
assez florissante. De mettre en place un plus grand nombre de points
d'abreuvement, pour éviter aux troupeaux de longs parcours. Avec ces
nouvelles conditions, les éleveurs de la région ou de passage
trouveront l'eau et l'herbe nécessaires pour leurs besoins d'autant
plus que c'est là deux éléments vitaux pour une bonne croissance.
Depuis les actions menées sur le terrain par le HSDC ont commencé à
porter leurs fruits. Et pour preuve, le premier responsable du Haut-
Commissariat nous a révélé que le poids moyen de la carcasse de
viande des ovins est passé depuis quelques années (2002, 2003) de
13 kg à 22 kg. « Une telle croissance dans le poids s'explique par
le fait que les troupeaux trouvent de quoi manger sur les parcours
pastoraux »,
Examen
du bilan de la campagne labour semailles 2009- 2010
Ainsi
la superficies emblavée dans les zones d'épandages est de 175974ha
sur un objectif de 346450ha soit 50.80% de réalisation les wilayates
excédentaires sont Djelfa (147% ),Biskra (108% ),les wilayates
déficitaires sont Naama 22% Médéa 32% Certaines wilayates (comme
Tiaret 63% ont emblavé 25223ha sur 40000ha) ont emblavé plus de
50% Il a été constaté une absence d'accompagnement par la BADR
CCLS CNMA INSID et Chambre d'agriculture; l'implication des cadres a
été jugée timide
Rendements
biologiques 2009- 2010
Sept
sites à différentes altitudes ont été échantillonnés La hauteur
des plantes varie de 33,3 à 64.9 cm La densité des plantes varie de
52 à 165 plantes parm2 les rendements à Msila sont de 29.76 ;30.48
; et32.64 qx/ha , les rendements à Laghouat sont de 8.04 et Les
rendement àDjelfa est de55qx/ha et le rendement moyen est 30.48qx/ha
Pour Biskra la production a été complètement fauchée Sept sites
à différentes altitudes ont été échantillonnés La hauteur des
plantes varie de 33,3 à 64.9 cm La densité des plantes varie de 52
à 165 plantes parm2 les rendements à Msila sont de 29.76 ;30.48 ;
et32.64 qx/ha , les rendements à Laghouat sont de 8.04 et Les
rendement à Djelfa est de55qx/ha et le rendement moyen est
30.48qx/ha Pour Biskra la production a été complètement fauchée
La
céréaliculture : une nécessité incontournable actuellement.
9
La céréaliculture était pratiquée depuis toujours dans la steppe,
mais elle se limitait « aux cultures de décrue dans les bas fonds
inondables produisant des rendements acceptables sans grands dommages
pour les parcours » (Le Houerou, 1968) 10Ainsi, le nomade n’a
jamais hésité à pratiquer de l’agriculture dans la steppe quand
le besoin s’en faisait sentir. Cette pratique ne cesse de s’élargir
et de s’étendre partout dans l’espace steppique. Les superficies
défrichées augmentent chaque année et la culture des céréales
tend à devenir l’activité productive principale de la steppe ?
Cette pratique est liée plus particulièrement au souci de l’éleveur
à assurer un complément de nourriture pour son cheptel et ce, quant
la végétation naturelle se fait rare et/ou les aliments du bétail
sont parfois inaccessibles à cause de leur prix exorbitants
l'Agriculture
de Conservation
cet
agriculture à pour but de protéger le sol par un travail minimal du
sol, une couverture permanente du sol et les rotations culturales
adaptées en opposition à l'agriculture conventionnelle qui impose
un ravinements une érosion des sols par le labour profond et
intermittent du sol; cette agriculture a donner des résultats
probants en zone tellienne du fait qu'elle est économiquement viable
par la suppression de la jachère ,elle permet de produire chaque
année donc de multiplier par deux le revenu comparativement à
l'agriculture conventionnelle qui donnent un rendement sur une
parcelle tous les deux années elle a donc été conseillée aux
zones d'épandages des crues des steppes naturellement fertilisées
par les minéraux de l'Atlas saharien
Potentialités
actuelles
Près
de 900 millions de m³ d’eaux de crues sont destinés à
l’irrigation par épandage de 498 000 ha pour la production
fourragère. Le potentiel de production arboricole et viticole compte
prés d’un million d’hectares en 2006. Les superficies récoltées
en toutes espèces confondues est de 2 671 140 ha, le blé dur
représente 1 162 882 ha, le blé tendre 620 945 ha, l'orge 812 280
ha et l'avoine 75 035 ha. La culture fourragère totalise 788 542 ha.
Les légumes secs sont étalés sur 66 866 ha et la culture de pommes
de terre est de 58 632 ha. Les superficies des cultures maraîchères
représente 372 096 ha.
Les
cultures
En
fait, ne pas perturber le sol, le maintenir couvert avec des plantes
adaptées à la saison, au sol et au système de culture revient à
tenter de créer des écosystèmes cultivés performants, c’est à
dire dans lesquels des communautés d’êtres vivants utilisent
efficacement un milieu et des ressources. Efficacement voulant dire
une production maximale pour une consommation d’énergie et de
ressources minimale, sans dégradation aucune (durabilité
les
recommandations à l'issu de l'atelier étaient les suivantes:
-
Nécessité pour l'INSID de remplir sa mission de cartographie des
zones labourables en steppes
-
cartographie à grande echelle de l'aptitudes des terres,lescartog
raphie précédentes n'ayant qu'un aspect académiques(les DSA n'ont
pas bessoin de connaitre ratser et vecteur mais l'évaluationdes
potentialités agricoles de leur dayates)
-
une necesssité pour les DSA de réaliser le rendement biologique
-
L'OAIC se doit de mettre à la disposition des wilayates steppiques
ses centre de collecte de proximité et de mobiliser voire de
recruter le personnel nécéessaire pour une production d'au moins 2
millions de quintaux - les commissions de suivi de la moisson battage
doivent tenir compte des flash des DSA portant la part des dayates
dans la proction - l'Oaic doit dèsle mois de juillet mettre un
processus de livraison de semences disponibles pour les semis
précoces des dayates - nécessité d'une implication des instituts
tel que l'ITELV qui sont restés en marge de leur mission de suivi en
zones steppiques - Faciliter les formalités de traiements des
semences retenues par les agriculteurs éleveurs et ce en créant un
guichet unique - former les ACV pour l'encadrement des opérations à
l'image de la formation dans la zone tellienne - réaliser le
rendement biologique par des évaluations en novembre février et
mars
La
faisabilité des productions arboricole , laitières , avicole ,
oléicole et embouche ovin ont déjà été démontré en steppe par
des investisseurs privés ; il reste au MADR de prendre le train du
développment
Posté
par saidabiida à 07:49 - Permalien [#]
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